samedi 13 mars 2010
Appartement de garçon
(je poursuis dans le plagia flaubertien).
"Garçonnière" dans une acception plus contemporaine et "studio affecté à la fornication illicite" dans une acception plus triviale. Curieusement, l'expression "appartement de fille" n'existe pas. On lui préfère une dimension plus collective : maison close, bordel, lupanar, etc. ... que la sinistre Marthe Richard, en 1946, élèvera définitivement au statut d'errance fantasmatique masculine.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire